Blog d'une vie par Alain G

Blog d'une vie par Alain G

Mes différents métiers


Gardien d'immeubles...

Début 1984 je me suis mis à la recherche d’un nouvel employeur dans le service publique .

Lors d’une réunion de quartier, le président de L’OPHLM a annoncé qu’ils allaient recruter un gardien pour un groupe d’immeuble avant la réhabilitation de ce dernier.

Gardien d’immeuble, pourquoi pas, j’ai donc postulé pour ce poste tout en étant conscient qu’il n’y en avait jamais eu dans cette citée.

Après avoir été reçue par le président et le directeur de l’office qui ont donnés un avis favorable à ma demande, j’ai pris mes fonctions de gardien d’immeuble le 2 avril 1984 .

Les immeubles se situaient dans le quartier de Mireuil à La Rochelle, un groupe de trois bâtiments « PSR, pour Personnes Sans Ressource »

Le travail consistait non  seulement à faire l’entretien des cages d’escaliers et des abords immédiat des immeubles mais aussi de gérer les différents entre les locataires, assurer la sécurité des personnes et des biens et faire le relais entre les locataires et l’office.

La population de ce quartier n’était pas des plus facile à gérer, un très fort taux de chômage, des familles nombreuses, l’alcool, les trafics en tout genre etc… ce qui fait que les interventions de la police étaient très fréquentes…

A la fin de la troisième année sur ce quartier très difficile à gérer, j’ai demandé ma mutation sur un autre secteur, un poste m’a été proposé dans une cité résidentielle de quatre immeubles pour un peut plus d’une centaine de résidents, j’y ai pris mes fonctions en juin 1988.

Tout au long de ma carrière de j’ai pue suivre différentes formations qui m’ont permises d’accéder au grade de gardien principale et à la fonction de référent adjoint du responsable de secteur « 1200 logements environ »

Le 1er décembre 2009 après vingt sept ans et demis à l’Office de La Rochelle,  j’ai pris ma retraite.

J’ai changé de quartier tout en ne m’éloignant pas trop, de manière à ne pas couper le contacte avec certains locataires et amis.

Une autre vie commençait !!!

 

A suivre. 


19/11/2015
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Manutentionnaire, magasinier, électricien…

 

Ma nouvelle entreprise se nommait; la Rolland's Compagny.

 

  Pour mes début dans cette usine (1978) je faisais du conditionnement, en fait je remplissait des fûts, bidons, seaux et autres flacons de différentes contenances avec les produits qui sortaient de fabrications.
 Des produits qui pouvaient être du détergent, lave vitres, dégraissant, mais aussi peinture pour façade, accélérateur de prise pour le béton, hydrofuge etc... il y avait une très grande gamme aussi divers que variée.

  Du conditionnement, je suis passé à la préparation de commandes, puis à la maintenance et entretient de tout le matériel, machines, élévateurs, dépôts, bureaux tant en réparation qu'en peinture ou transformation.
Après trois mois comme intérimaire, j'ai été embauché au sein de l'entreprise et suis resté au service maintenance. Les vacances d'été arrivées j'ai été le seul de l'usine à rester pour effectuer des travaux de peinture divers, pour cela j'ai été aidé par deux intérimaires.
 Pour être plus performant au sein du service maintenance, j'ai fais des formation sur plusieurs mois en électricité, électromécanique et électronie car nous nous modernisions en matériel, ce qui nécessitait une certaine maîtrise dans l'installation et les réglage. Je faisais enfin un travail vraiment intéressant et bien payé.
En 1984,six ans après mes débuts , la société a été vendu à un groupe Américain, les transformations et restructurations allaient bon train. A cette époque nous étions une cinquantaine, trop de personnel aux yeux des nouveaux dirigeant, mon poste était remplacé par des sous-traitants. Ne nous  voyant plus d'avenir, deux collègue et moi nous somme mis à la recherche d'un emploi plus sécuritaire comme la fonction publique, je n'avais que trente cinq ans il n'était donc pas trop tard.

  Le deux avril 1984 je commençais un nouveau travail ; gardien d'immeubles dans les H L M.

A suivre...


16/11/2015
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Encadreur...

  Je ne connaissais rien à ce métier d'encadreur, mais je me suis très vite adapté et investie avec passion.
 Nous fabriquions nous même tous nos cadres, à la demande des clients selon leurs goûts  et le sujet à encadrer. Bien sure nous étions à leur côté pour les aider dans leur choix, et c'est ce relationnel avec les clients qui me plaisait beaucoup.
 Des cadres j'en ais fais de toutes les façons, des grands , des petits, avec ou sans verre, des baguettes et moulures aussi divers que variées dans lesquels étaient inséré des gravures, reproductions, tableaux, canevas etc...
J'ai aussi appris à restaurer des vieux cadres ou miroirs à fronton anciens dont la finition de certains s'effectuait à la feuille d'or.
 Notre travail ne se cantonnait pas au seul atelier, nous descendions pour l'accueil et les conseils aux clients du magasin qui faisait aussi galerie d'art et ou était en permanence exposées les œuvres des peintres locaux, c'est ainsi que j'ai appris à les connaître et les apprécier selon leur style.
 Je suis resté quatre ans dans cette galerie d'art que j'ai quitté au printemps 1998, car bien que le travaille me plaisait beaucoup ; le salaire ne suivait pas car je n'avais pas de diplôme de qualification.
C'est donc l'agence d'intérimaire qui m'a proposé un travail de manutentionnaire  dans une petite usine de fabrication de produits d'entretien, nous étions une trentaine d'employés.


A suivre.  


16/11/2015
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Je me pose à La Rochelle

En arrivant à La Rochelle en juin 1972 je logeais dans une chambre d'un petit hôtel jusqu'au jour ou ayant pris la décision de me poser dans cette ville , puis j'ai trouvé un petit meublé de deux pièces chez un particulier et j'y suis resté jusqu'à mon mariage.
 Ayant démissionné de l'entrepôt d'alimentation en gros, j'ai retrouvé un travail dans le même domaine, mais comme responsable des « têtes de gondole ». Le travail était différent et l'ambiance pas terrible. Après quelques mois d'activité, le dépôt a déménagé dans une autre zone d'activité  pour des raisons de surface et d'accessibilité, je ne les ai pas suivie et suis allé travailler dans une entreprise de manutention comme intérimaire à charger des remorques de camions et des wagons SNCF de sacs de cinquante kilos (principalement de l'engrais).
 C'était un travail très physique, mais nous y étions bien payé et l'ambiance était bonne. Nous n'étions qu'une dizaine encadré par un contre-maître un peut grande gueule mais très sympa. Je me souviens que c'était un Allemand marié à une institutrice Française.
Régulièrement le contrat prenait fin, j'étais alors envoyé en mission pour quelques jours dans une autre entreprise, puis je revenais à la manutention. J'ai fais environ un an et demi ainsi jusqu'à l'été 1974. Entre temps je m'étais marié, nous avions un logement dans un meublé au début puis dans un HLM, le premier enfant est arrivé. Il me fallait trouver en emploi stable...
 Un jour en me baladant en centre ville, j'ai vue une affichette sur la vitrine d'un encadreur qui cherchait un employé pour aider l'ouvrier. Je suis entré, le patron m'a conduit à l'étage où se trouvait l'atelier, m'a présenté à l'ouvrier avec qui j'ai fais quelques essais d'assemblage de cadres et de découpe de verre. Ce petit essai ayant été satisfaisant, j'ai été embauché. Une nouvelle expérience commençait pour moi, un travail à l'abri, propre et dans un commerce, ce qui me ramenait un peut à mes début lorsque j'étais coiffeur.

A suivre...


15/11/2015
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De Paris à La Rochelle...

Sans trop de difficulté jais trouvé « une chambre de bonne » au cinquième étage d'un immeuble de la rue Saint-Lazare dans le neuvième arrondissement, le lendemain  j’avais rendez-vous avec le directeur d’un entrepôt d’alimentation en gros qui se situait  à Bobigny. J'y ai été embauché comme manutentionnaire, puis préparateur de commandes, nous conditionnions de l'alimentaire dans des containers grillagés qui étaient livrés dans des épiceries ou restaurants.
 C'est un travail qui me convenait et je m'y investissais de mon mieux si bien qu'au début de l'été 1972, un poste saisonnier de responsable des expéditions me fût proposé à La Rochelle. Pour moi le Charentais, quelle aubaine, j'ai donc fais ma saison « trois mois » au cours de laquelle j'ai rencontré mon épouse actuel, c'est pourquoi je ne suis pas retourné en région Parisienne à la fin de ma mission, mais je venais de vivre une belle expérience.
 
A suivre...


15/11/2015
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